Apichatpong Weerasethakul répond à la commande du Centre Pompidou et met en scène son bureau, son environnement de travail, ses gestes de recherche et de création. Le bureau qui avait peur déploie alors une exégèse de quelques vers du poète thaïlandais contemporain Uten Mahamid et la façon dont le cinéaste et artiste s’en nourrit, ainsi que d’autres œuvres, pour donner naissance à une œuvre fictionnelle.